Les éléphants d’Asie
Ils vivent en Asie ou en Afrique, les éléphants représentent de magnifiques animaux qu’on ne se lasse jamais de contempler. Ils sont imposants, majestueux et forts. Ces pachydermes se trouvent à la tête des plus gros mammifères du monde.
Dans ce dossier, nous allons mettre le cap sur l’Asie pour parler des éléphants qui vivent sur ce continent. En effet, après l’Afrique, l’Asie est le deuxième continent abritant le plus d’éléphants dans le monde. Les espèces qui y vivent sont nommées « les éléphants d’Asie » appelées auparavant « les éléphants indiens ». Ils répondent au nom scientifique d’Elephas Maximus et se trouvent être le petit frère de l’éléphant d’Afrique.
Les éléphants d’Asie fascinent autant que ceux d’Afrique. Pour les connaitre davantage, Monde Eléphant a préparé cet article pour vous. Il est axé sur les particularités des éléphants d’Asie, leur anatomie, leur lieu de vie, leur place dans l’histoire et la culture asiatique, et bien évidemment dans le tourisme de masse.
Cet article vous parlera également des menaces qui planent sur les éléphants sauvages d’Asie, et les maltraitances vécues par les populations domestiquées. A la fin de l’article, nous réserverons quelques lignes sur les meilleurs endroits où croiser les éléphants d’Asie.
Si vous êtes comme nous, fervent admirateur et défenseur de la cause des éléphants, alors nous vous invitons à parcourir cet article jusqu’à la fin.
1) L’anatomie de l’éléphant d’Asie
Les dissimilitudes entre les éléphants d’Asie et ceux du continent africain sont nombreuses. Bien qu’ils soient tous grands et costauds, leur anatomie présente une grande différence.
Leur poids par exemple. Les éléphants d’Asie sont plus petits que ceux d’Afrique, puisqu’ils oscillent entre 4.5 et 5.5 tonnes chez les mâles, et entre 3.5 et 4.5 tonnes chez les femelles.
Au niveau de l’anatomie, l’éléphant d’Asie présente un dos arqué, de petites oreilles et deux bosses sur la tête. Sa trompe ne possède qu’une seule lèvre alors que celle de l’éléphant d’Afrique en a deux.
Seuls les mâles ont des défenses, mais pas tous. Les femelles ne portent aucune défense mais plutôt des petites dents.
2) Où vivent les éléphants d’Asie ?
Des années auparavant, les éléphants d’Asie habitaient partout dans le sud du continent asiatique. Mais actuellement, ils n’occupent plus que 15% de leur territoire d’origine.
Ces pachydermes peuplent les plaines et les forêts denses de nombreuses régions asiatiques, telles que l’Inde, le Sri Lanka, la Birmanie, la Malaisie, le Sumatra et la Thaïlande.
Quelques populations sont observées au nord de Bornéo, au Népal, au Cambodge, au Laos, au Vietnam et au Bangladesh.
Les éléphants indiens sont les plus nombreux en Asie, mais une espèce rare vit aussi sur l’île de Bornéo. Ce sont des éléphants pygmées, caractérisés par leur plus petite taille.
Tous les éléphants, qu’ils soient d’Asie ou d’Afrique, respectent une structure sociale « matriarcale », menée par la femelle la plus âgée du clan. Ce sont des populations grégaires qui vivent en groupe. Un troupeau se compose généralement de plusieurs femelles et d’éléphanteaux. Les mâles adultes s’éloignent de la horde et forment une petite communauté.
3) Le régime alimentaire de l’éléphant d’Asie
La forêt et les plaines herbeuses offrent une quantité suffisante de nourritures aux éléphants. Ils mangent surtout des herbes, des feuillages, des racines, des fruits sauvages et de jeunes pousses.
Pour les éléphants en captivité, leur régime alimentaire contient principalement des fruits, des légumes, des foins, de la canne à sucre, des pieds de maïs et de feuilles d’acacia.
Comme les éléphants d’Afrique, leurs cousins d’Asie consacrent aussi beaucoup de temps à la recherche de nourritures. En tout, jusqu’à 18 h par jour. D’ailleurs, ils ont l’habitude de beaucoup se déplacer pour convoiter leurs nourritures.
Les éléphants d’Asie ont la particularité de ronronner lorsqu’ils mangent. Lorsqu’ils sentent un danger, ils arrêtent de manger, de ronronner et projettent des sons pour alerter leurs semblables. Ensuite, ils se taisent tous pour écouter et se préparer à l’arrivée du danger.
Cette façon de communiquer est innée chez les éléphants. Les espèces habitant en Afrique développent également ce même reflexe.
4) Quelle est la place de l’éléphant dans l’histoire et la culture asiatique ?
Si l’éléphant d’Afrique profite d’un milieu sauvage et primitif, celui d’Asie n’en est pas ainsi.
Selon l’histoire, la relation entre l’homme et l’éléphant d’Asie remonterait à plus de 5000 ans.
Ce lien était hétéroclite et multiple, notamment à travers tout le continent asiatique.
En Thaïlande par exemple, l’éléphant est considéré comme un animal sacré. La culture thaïlandaise l’associe à plusieurs symboles et imageries. Actuellement, il est l’emblème principal de la Monarchie.
Les éléphants étaient aussi vénérés pour leur force. Dans la partie nord et ouest de la Thaïlande, ces pachydermes travaillaient dans l’industrie forestière. Ils y œuvraient plusieurs années pour couper et transporter les arbres. Le travail des éléphants a finalement pris fin en 1989 lorsque la loi interdisant le transport du bois par traction animale a été décrétée.
Au-delà des travaux, l’éléphant prend aussi une place importante dans la croyance bouddhiste. Cette religion principale de la Thaïlande perçoit cet animal comme l’incarnation du dieu Bouddha.
Aujourd’hui, ce pachyderme reste un symbole fort dans la culture et l’économie de la Thaïlande. Le pays voulait « revaloriser » l’éléphant en l’utilisant comme ouvrier agricole dans les champs et comme source d’attraction touristique.
Lorsqu’ils atteignent un certain âge et ne peuvent plus travailler, le pays a la coutume de les « remercier » en les enfermant dans des enclos. Ils passent alors le restant de leurs vieux jours enchainés comme de pauvres bêtes.
5) Eléphants d’Asie, animaux domestiqués et bêtes de somme
Le domptage des éléphants d’Asie remonte à plus de 3000 ans. A l’époque, le peuple asiatique capturait les éléphants sauvages pour les domestiquer et en faire des bêtes de somme.
Au 18ème siècle, la Thaïlande imposait différents travaux aux éléphants. Ils besognaient dans les exploitations forestières au nord, et servaient dans l’armée de l’Empire Siam au sud.
A l’heure actuelle, aucun éléphant n’intègre plus l’armée thaïlandaise. Les pachydermes se concentrent tous dans les travaux de la ferme et le tourisme.
6) Le rituel du Phajaan
En Asie, il existe un rituel célèbre appelé « rituel du Phajaan » permettant de domestiquer les éléphants. Cette sorte de croyance consiste à endormir, voire à éliminer définitivement, les réflexes instinctifs de l’animal. Les dresseurs parlent de « séparation » du corps et de l’esprit de l’éléphant.
En pratique, le rituel du Phajaan se traduit par une torture extrême imposée aux pachydermes. Ils sont immobilisés par des chaines, électrocutés, privés de nourritures et parfois étouffés.
La plupart du temps, le dresseur (qu’on appelle aussi Mahout) utilise un marteau à pic avec lequel il envoie des coups violents sur des endroits anatomiques de l’animal. Le but est de lui faire peur afin qu’il soit complètement soumis. Grâce à ce rituel, le pauvre éléphant n’est plus maitre de lui-même. Il accepte tout ce qu’on lui impose.
Le rituel du Phajaan est synonyme de coups et blessures. Nombreux éléphants succombent à la torture et meurent quelques heures après la pratique. Ceux qui survivent sont traumatisés à vie et deviennent des bêtes de somme.
7) Les menaces sur les éléphants sauvages
Eléphants d’Afrique ou éléphants d’Asie, les deux espèces sont toutes menacées d’extinction.
En effet, les dangers sont certes multiples mais au fond, il n’y a qu’un seul dénominateur : l’homme.
Pour les éléphants d’Asie en particulier, qu’ils vivent à l’état sauvage ou en captivité, l’homme demeure son ennemi principal. Ce dernier est responsable de toutes les intimidations infligées aux éléphants : il détruit leur habitat naturel, il les capture, il effectue du braconnage et finalement il entre en conflit avec ces animaux.
Selon l’IUCN ou Union Internationale pour la Conservation de la Nature, le nombre d’individus sauvages est estimé entre 40.000 et 50.000.
7.1) Destruction de l’habitat naturel :
L’Asie du sud-est est confrontée à un gros problème de déforestation, ce qui entraine la dégradation rapide de l’habitat naturel des éléphants.
En Malaisie et en Indonésie, la population déracine les arbres des forêts pour les remplacer par des palmiers à huile ou par du teck, très prisé dans l’industrie de la papeterie.
En outre, on enregistre aussi une perte significative de l’habitat des éléphants à cause de la densité de la population asiatique qui ne cesse de s’élever. Certaines régions rurales, situées près du territoire des éléphants, exploitent les terres afin d’y cultiver du riz, du maïs, du thé, etc. L’habitat des pachydermes est alors fragmenté poussant les animaux à s’isoler au milieu de petites terres intactes entourées de cultures agricoles.
La conservation de l’espèce et de son patrimoine génétique se trouve alors perturbée par cette fragmentation de terres puisque les animaux confinés ont du mal à se reproduire.
Pour résoudre ce problème, des chercheurs et des ONG ont mis en place des solutions acceptables sur le long terme. Il s’agit de la création de corridors de passage au sein du territoire des éléphants. Ils sensibilisent aussi la population sur l’importance de partager les terres avec les éléphants sauvages afin d’empêcher les éventuels conflits.
7.2) Braconnage :
Le braconnage ne touche pas uniquement les éléphants d’Afrique mais également les espèces asiatiques. Ce fléau est même en hausse depuis quelques années.
En Asie, les braconniers chassent les éléphants sauvages pour bon nombre de causes, pas seulement pour leur ivoire mais également pour leur peau, leurs chairs, leur queue, …
La forte demande exercée par le commerce chinois est la principale cause de cette augmentation. Les chinois utilisent l’ivoire pour les objets décoratifs, la chaire pour les recettes gastronomiques, et la peau pour la médecine traditionnelle,….
Depuis 2010, on enregistre une demande importante de peau d’éléphant. La Chine est en effet le seul pays à y autoriser la vente. Là-bas, la population raffole de cette matière pour ses supposées vertus médicinales : il parait qu’elle soigne les troubles gastriques et l’eczéma.
Par ailleurs, la peau de l’éléphant est aussi très plébiscitée dans l’artisanat culturel chinois. Elle permet de concevoir des modèles rares de bijoux, de perles et d’objets précieux.
Le plus grand danger causé par le braconnage en Asie est qu’il ne concerne pas uniquement une minorité d’individus, comme les éléphants mâles d’Afrique dotés de grosses défenses par exemple. En Asie, le braconnage touche absolument tous les individus, à savoir les mâles, les femelles et les éléphanteaux.
La survie de l’espèce est donc en péril puisque les jeunes générations d’éléphants font partie des cibles principales des braconniers, à cause de leur peau bien évidemment.
7.3) Capture excessive :
Après le braconnage, la capture excessive pour l’utilisation humaine est une autre menace qui plane sur les éléphants sauvages. Souvenez-vous, depuis 3000 ans, ces pachydermes étaient utilisés comme animaux de compagnie pour les humains. Ils étaient dans l’armée. Ils travaillaient dans l’exploitation forestière. Ils participaient aux cérémonies traditionnelles bouddhistes. Et maintenant, ils sont devenus des animaux de divertissements pour les touristes.
S’il y a un animal plurivalent en Asie, c’est surement l’éléphant. Il est le seul à pouvoir réaliser toutes sortes de besognes. De plus, il constitue une entrée d’argent significative pour son maitre.
Les pays asiatiques ne peuvent donc pas se passer des éléphants. Leur quotidien tourne autour de ces animaux, d’où le besoin constant de capturer de nouveaux individus.
Les éléphants sont piégés dès leur plus jeune âge. Ainsi, le processus de dressage est plus simplifié. Les éléphants adultes sont plus difficiles à dompter que les jeunes. De plus, avec les femelles, il y a la contrainte de la gestation qui dure jusqu’à 28 mois.
7.4) Conflit homme / éléphant :
Le conflit homme/éléphant est récurent, même sur le continent africain.
Les causes ? La fragmentation de l’habitat naturel des éléphants et le besoin des hommes d’accaparer un territoire plus grand pour leurs cultures.
Les éléphants d’Asie ne pouvant plus profiter d’une terre plus étendue, ils sont alors obligés de se tourner vers les cultures des hommes pour se nourrir. C’est là que le conflit commence, entrainant parfois une grande perte humaine et animale.
En Inde par exemple, en 2015, les éléphants à la recherche de nourritures migraient vers des territoires occupés par l’homme. Ils causaient de nombreux dégâts dans les villages et surtout dans les champs. Les hommes et les éléphants entraient alors en conflit. Après le pénible affrontement, la perte de vie humaine était considérable. On comptait une dizaine de personnes décédées et plusieurs éléphants blessés.
Cette rivalité homme/éléphant d’Asie est un défi majeur à relever. Heureusement en Afrique, une solution a été trouvée afin d’empêcher les hommes et les éléphants de se battre. Il s’agit de l’installation de clôtures de ruche d’abeilles autour des cultures. Les éléphants étant très peureux des piqûres d’abeilles, ils ne risquent pas d’endommager les clôtures. En même temps, les cultures sont protégées, et les hommes bénéficient d’une nouvelle source de revenue.
Cette expérimentation est déjà introduite en Asie, notamment au Sri Lanka où elle a été testée avec succès. Elle sera employée sur d’autres régions asiatiques et principalement en Inde dans les prochaines années.
8) L’éléphant d’Asie et le tourisme de masse
L’éléphant d’Asie tient une grande place dans le secteur touristique. Au-delà de son image mythique et royale, ce pachyderme est aussi étroitement relié au tourisme de masse, principalement en Inde et en Thaïlande.
Ils sont logés dans des endroits spécifiques appelés « camps d’éléphants ». Là, ils sont dressés pour satisfaire les besoins continuels des touristes. Leur quête d’exotisme oblige les éléphants à travailler durement et à performer.
Or, plus de 1000 touristes par jour viennent visiter ces camps. La pression subie par les éléphants est donc énorme. Ils sont forcés de se mettre en spectacle. Ils effectuent des kilomètres de promenades sur la terre et le long des fleuves. Ils jouent au foot, ils font de la peinture et régulièrement, ils portent des touristes pour les fameuses photos souvenirs. En parallèle, l’animal sauvage est roué de coups pour obéir aux ordres, sans parler des bruits et des agitations stressants autour de lui.
En termes plus simplifiés, l’éléphant est exploité de façon démesurée. Cet animal supposé être « sauvage » se plie aux volontés du tourisme de masse.
9) Quel est l’impact de ce tourisme de masse sur la santé de l’éléphant ?
La santé et le bienêtre de l’éléphant ne font pas partie du lexique du tourisme de masse en Asie. Pourtant, cette immense pression qui pèse sur l’animal n’a que des conséquences graves.
Il vit dans un stress permanent et cela peut être éventuellement dangereux pour lui-même et pour les touristes attroupés autour de lui.
En action, il perd toute liberté de décision. Il fonctionne comme une machine qui doit assurer une productivité. Le travail de dressage lui fait se déposséder de tout instinct naturel. Imaginez un animal sauvage de plusieurs tonnes en train de peindre ou faire du foot ?
Lorsqu’il est en repos, le pachyderme reste enchainé durant des heures. Il ne sort jamais du camp d’élevage. Pourtant, à l’état sauvage, cet animal avait l’habitude de vivre en communauté, entouré de plusieurs individus regroupés en un seul troupeau.
On parle aussi de calvaire et d’acharnement lorsqu’ils sont ligotés sur des sols bétonnés baignant dans des déchets et des matières fécales. A force de rester immobiles, les pattes des éléphants souffrent d’infections causant parfois des crevasses.
Les promenades à dos d’éléphants provoquent également des conséquences néfastes sur leur santé. Le poids des touristes et des chaises en bois fixées au dos entraine non seulement des problèmes cutanés à cause du frottement, mais aussi des maladies osseuses générées par la charge sur le squelette dorsale.
Enfin, en ce qui concerne l’alimentation des éléphants, on peut la caractériser de mauvaise qualité. N’oublions pas que la quantité journalière doit atteindre les 200 kg de nourritures. Or, dans les camps, ce quota est loin d’être respecté. On leur fournit une petite variété de nourritures qui est loin de satisfaire leurs besoins nutritifs.
10) Où visiter les éléphants d’Asie ?
Pour rencontrer les éléphants d’Asie, il vaut mieux éviter les camps d’éléphants infligeant des conditions de vie lamentables aux animaux.
Lors de votre voyage en Asie, il est préférable de fréquenter les parcs nationaux, les sanctuaires et les refuges pour éléphants. Ces endroits regroupent des populations d’éléphants dans un environnement naturel et agréable. Les pachydermes profitent amplement de la nature et vaquent librement au sein d’un milieu accueillant.
10.1) Parc national de Khao Yai en Thaïlande :
200 à 300 éléphants d’Asie peuplent ce grand parc national. L’étendu du parc et la richesse de la nature leur permettent de se promener librement partout. A part les éléphants, d’autres animaux sauvages occupent également le lieu, à savoir les léopards, les ours, les singes et une variété d’oiseaux tropicaux.
10.2) Parc national Yok Don au Vietnam :
Ce parc vietnamien offre une végétation luxuriante aux éléphants. Une grande quantité de nourritures leur est offerte toute l’année. En outre, pour assurer la pérennité des espaces sauvages, le parc décide d’accueillir chaque année de nouveaux individus issus des camps d’éléphants ou des forêts denses vietnamiennes hors des parcs et des sanctuaires.
10.3) Elephant nature park à Chiang Mai en Thaïlande :
Réputé très respectueux des animaux, ce parc naturel compte une trentaine d’éléphants vivant dans un environnement naturel. Une journée entière permet de les connaitre individuellement et de rencontrer d’autres animaux recueillis par le parc, à savoir des buffles, des oiseaux et des animaux domestiques comme les chiens et les chats.
10.4) Phuket Elephant Sanctuary à Phuket en Thaïlande :
Ce parc est une sorte de maison de retraite pour les éléphants en situation précaire, c’est-à-dire âgés, blessés, malades ou en fin de vie. En effet, les animaux y jouissent d’une liberté totale et ils sillonnent paisiblement tout le domaine. Les visiteurs peuvent les observer de loin ou de près. Vous pouvez même vous socialiser avec eux en les nourrissant ou en vous baignant avec eux.
10.5) Wildlife Friends Foundation à Phetchaburi en Thaïlande :
Ce refuge est à la fois un parc et un centre de refuge pour tous les animaux maltraités et handicapés. Ici, les occupants sont bien traités et évoluent dans un habitat naturel sain. D’ailleurs, on y rencontre des éléphants, des ours, des oiseaux et des reptiles. Certains de ces animaux sont relâchés dans la forêt sauvage de Thaïlande lorsqu’ils sont réhabilités.
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