Les éléphants d’Afrique
L’éléphant est aujourd’hui le plus gros animal terrestre. Depuis son existence, nous connaissons deux espèces différentes, à savoir les éléphants d’Asie et les éléphants d’Afrique.
Dans cet article consacré aux éléphants, Monde Eléphant vous parlera principalement des espèces issues du continent africain, classées dans le genre des Loxodonta.
Nous développerons dans ces quelques lignes les caractéristiques morphologiques de ces éléphants, leur milieu d’habitation, leur mode de vie, leur régime alimentaire, ainsi que d’autres particularités qui les différencient des espèces venant d’Asie.
Nous évoquerons aussi les nombreuses menaces causant la disparition rapide des éléphants d’Afrique, et les différentes stratégies pour sauver ces pachydermes.
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1) Les spécificités morphologiques des éléphants d’Afrique
Chez les éléphants d’Afrique, les mâles sont plus lourds et plus grands que les femelles. En effet, les mâles pèsent entre 4 et 6 tonnes pour 3.5 à 4 m de haut, tandis que les femelles font entre 3 et 6 tonnes pour 2,5 à 3 m de haut.
La peau des éléphants d’Afrique est plus au moins dure, avec 2 à 3 mm d’épaisseur. Leur épiderme et leur derme sont d’une grande sensibilité. C’est pourquoi, ils prennent bien soin de leur peau en l’aspergeant d’eau, de boue et parfois de poussière. L’éléphant recouvre son corps de ces gangues protectrices pour éviter les coups de soleil et pour éliminer les parasites et les cellules mortes.
Si la peau est épaisse et sensible, les oreilles des éléphants sont marquées par une grande finesse. Ils profitent de ces organes pour refroidir leur corps en cas de fortes chaleurs. Lorsqu’ils ont chauds, ils battent leurs oreilles pour se rafraîchir.
L’éléphant est un animal à trompe, tout comme les tapirs, les fourmiliers et les tamanoirs. La trompe des éléphants est surement la plus grande et la plus longue du règne animal.
En effet, elle mesure jusqu’à 1.5 m et pèse dans les 135 kg. Par ailleurs, cet organe est constitué de nombreux muscles et est dépourvu d’os. A la fois pratique pour manger, pour boire et pour saisir de plantes et de branches, la trompe de l’éléphant d’Afrique arrive à soulever une charge allant jusqu’à 250 kg.
En ce qui concerne la dentition des éléphants africains, ces derniers possèdent 4 molaires et 2 incisives supérieures appelées habituellement « défenses ».
Plus l’éléphant grandit, plus leurs défenses continuent leur croissance. Elles peuvent peser 60 kg et mesurer jusqu’à 2.5 m de long. En Afrique, les mâles comme les femelles sont tous pourvus de défenses.
2) Eléphants d’Afrique VS éléphants d’Asie, les dissemblances morphologiques
On entend souvent parler de deux espèces d’éléphants : ceux d’Asie et ceux d’Afrique. Mais lorsqu’on les compare, on remarque des dissemblances énormes au niveau de leur morphologie.
Pour les éléphants d’Afrique, ils se distinguent par leurs deux grandes oreilles, leur front plat, leur trompe à deux lèvres et leur dos creux.
Concernant les éléphants d’Asie, ils possèdent deux oreilles de petite taille, un front à deux bosses, une trompe mono lèvre et un dos arrondi.
Les éléphants d’Afrique profitent de leur trompe à deux lèvres pour attraper et pincer des petites branches. Pour ceux d’Asie, ils utilisent la longueur de leur trompe pour saisir quelque chose.
3) Le milieu d’habitation et la répartition géographique
Auparavant, les éléphants d’Afrique étaient répartis dans la majorité des pays sub-sahariens, sur la pointe sud du continent, ainsi que sur les deux côtes Est et Ouest.
Aujourd’hui, leur milieu d’habitation se concentre principalement sur 37 pays sub-sahariens, au cœur des aires protégées. Les espèces trouvant refuges en Gambie, en Mauritanie et au Burundi sont considérées comme éteintes. Une faible densité est encore aperçue dans les domaines désertiques du Mali et de la Namibie.
Ces pachydermes occupent des zones d’habitat très diversifiées telles que la savane, la forêt, les steppes, les broussailles, les bords des fleuves et les champs marécageux.
Les éléphants d’Afrique ont l’habitude de se déplacer pour chercher des points d’eau et de la nourriture. En général, ils avancent à une vitesse moyenne de 5 à 8 km/h. Ils peuvent toutefois accélérer leur foulée et atteindre une allure de 40km/h.
Ces gros pachydermes peuvent supporter une longue période sans boire, notamment lorsque l’eau est absente dans certaines zones d’habitation. Toutefois, leur quantité de nourriture quotidienne doit être respectée pour garder des forces.
4) La méthode de reproduction des éléphants d’Afrique
Les éléphants d’Afriques atteignent leur maturité à l’âge de 12 à 14 ans. Les mâles quittent alors la communauté pour commencer une vie solitaire. Les femelles, quant à elles, restent au sein du troupeau.
Un seul mâle arrive à se reproduire avec plusieurs femelles. On dit que l’espèce est « Polygyne ».
La période des amours dure toute l’année, mais on remarque un taux de naissance plus élevé durant la période de pluie qu’en période de sécheresse. En fait, l’abondance des nourritures en saison de pluie pourrait expliquer ce phénomène.
L’activité sexuelle chez l’éléphant mâle est nommée « musth ». Durant cette période, l’individu se montre stressé et agressif à cause de l’augmentation de son taux de testostérone. Si le mâle ne s’accouple pas avec une femelle, son abstinence se manifeste par l’apparition de sécrétions au niveau de ses glandes temporales.
S’il y a accouplement, la femelle entame alors une période de gestation qui va durer 22 mois. Elle aura généralement une seule portée, et rarement deux.
L’éléphanteau naitra au sein de la communauté, entouré de nombreuses femelles et de jeunes mâles. Toutes les femelles du troupeau assistent la mère biologique dans les soins et l’éducation du petit. Ce dernier est sevré par sa mère dès sa naissance jusqu’à l’âge de 10 ans environ.
L’éléphant femelle donne naissance à un éléphanteau tous les 4 à 9 ans. En général, les éléphants d’Afrique ont une durée de vie maximale de 60 ans. Ceux qui vivent en captivité atteignent une longévité de 70 ans.
5) La vie sociale des éléphants d’Afrique
Les éléphants d’Afrique sont des espèces grégaires qui vivent en communauté. Le troupeau comporte habituellement des mâles immatures et des femelles de tout âge.
La structure sociale est qualifiée de « matriarcale », c’est-à-dire qu’elle est dirigée par une matriarche qui est généralement la femelle la plus âgée du troupeau. Elle joue le rôle de chef responsable, notamment lorsqu’il s’agit de déplacer le groupe d’un point à un autre.
Comme nous l’avons précisé, les mâles quittent la harde à l’âge de la maturité et les femelles demeurent dans leur troupe natale jusqu'à la fin de leur vie.
Chez les mâles, on remarque une certaine concurrence pendant la saison des amours. Ces animaux entrent en compétition pour séduire les femelles. Ils expriment leur supériorité en bougeant la tête, en redressant les oreilles et en secouant constamment leur trompe. Ces gestes sont accompagnés de barrissements, audibles à des kilomètres autour.
Pour « gagner le cœur d’une femelle », deux mâles s’affrontent dans un combat sans merci. Les incisives servent à la fois d’armes tranchantes pour attaquer l’adversaire et d’outils de défense pour se protéger. Cet affrontement provoque parfois de grosses blessures. Le vainqueur intègre le troupeau pour trouver sa nouvelle partenaire et le vaincu poursuit sa vie solitaire.
Lorsqu’on observe la vie sociale des éléphants d’Afrique, on peut remarquer un sens profond de la famille. Ces animaux vivent en solidarité et les troupeaux s’entraident en cas de problèmes (absence d’eau et de nourritures par exemple).
Ce sens de solidarité se manifeste aussi souvent chez les femelles d’un même clan. Elles se soutiennent entre elles pour protéger les petits et particulièrement, pour les élever ensemble.
Les éléphants développent également un grand sens de la communication en émettant des infrasons sur de très longues distances. Ces vocalisations passent d’un troupeau à un autre et sont imperceptibles par l’oreille humaine.
Dans la vie sociale, ils savent aussi exprimer leur émotion. D’ailleurs, cette capacité à ressentir étonne les scientifiques, surtout lorsqu’un de leur semblable décède.
6) Le régime alimentaire
Les éléphants d’Afrique sont des herbivores qui mangent régulièrement des feuilles, des racines, des herbes, des fruits sauvages et des écorces.
La saison des pluies leur offre un large choix de nourritures. Pendant cette période, ils complètent leur régime par des graminacées et de la végétation issue de zones humides, telles que les massettes et les papyrus. En saison sèche, la savane leur procure un régime alimentaire suffisant composé de buissons épineux et de feuilles d’arbres.
L’organisme des éléphants nécessite une quantité de nourritures assez élevée : entre 200 et 300 kg de nourritures par jour et jusqu’à 200 litres d’eau.
En l’absence de points d’eau, les éléphants adultes peuvent survivre plusieurs jours sans eau. Le fait qu’ils se déplacent constamment permet cependant de repérer des sources d’eau.
Habituellement, les éléphants d’Afrique sont actifs le jour mais certains sont devenus nocturnes à cause de la présence des humains sur leur habitat naturel.
Leur façon de manger est très fascinante. En effet, ils utilisent leur trompe pour saisir et couper les aliments. Ensuite, ils les palpent minutieusement et les secouent pour enlever la terre. Les pachydermes n’introduisent les plantes dans leur bouche qu’une fois propres et exemptes de matières organiques.
Les éléphants se montrent ponctuels et stricts quand on parle de nourritures. D’ailleurs, leur vie quotidienne est rythmée par la recherche d’eau et de nourritures, ce qui les occupent pendant 18 heures d’affilés chaque jour.
7) Eléphant d’Afrique : deux différentes espèces à part entière
Les éléphantidés regroupent deux espèces différentes : celles de l’Asie appelées anciennement les « éléphants indiens » et les espèces africaines ou éléphants d’Afrique.
Des études menées sur les éléphants d’Afrique ont permis de découvrir deux catégories bien distinctes, à savoir l’éléphant de savane ou « Loxodonta africana », et l’éléphant de forêt ou « Loxodonta cyclotis ».
Quelques différences sont notées au niveau du comportement et de la morphologie des deux espèces. En effet, les éléphants de savane sont plus grands et plus costauds que les éléphants de forêt.
A notre grand étonnement, des chercheurs affirment avoir trouvé une troisième sous-espèce d’éléphant d’Afrique. Il s’agit des individus de l’Afrique de l’ouest. Aucun nom scientifique ne leur a encore été attribué puisque les recherches sont encore en cours pour décréter cette nouvelle classification.
8) Les causes principales du déclin rapide de l’espèce
Depuis leur existence, les éléphants figurent parmi les animaux les plus fascinants de la planète. Leur taille imposante et leur mode de vie nous intriguent énormément. Après la disparition des mammouths, toute notre attention se concentre désormais sur les éléphants.
Nous sommes curieux de savoir comment ils vivent, comment se passe leur quotidien et comment se fait-il qu’il soit l’un des animaux les plus intelligents de la Terre. Toutes ces questions sont des sujets à débattre.
En outre, il y a aussi un point très important qui mérite toute notre attention : il s’agit du déclin rapide des éléphants, et en particulier ceux d’Afrique. Depuis quelques années, dès qu’on parle d’éléphants, on évoque toujours le risque de les voir totalement disparaitre, et surtout les différentes causes qui en font l’une des espèces menacées d’extinction.
8.1) Le braconnage :
Les éléphants africains sont sauvages et invulnérables face aux autres animaux. Et pourtant, ils sont menacés de s’éteindre. Leur ennemi numéro 1 n’est certainement pas le lion ou le tigre mais bel et bien l’homme.
L’homme et son braconnage constituent la première cause principale de l’extinction des éléphants d’Afrique. Les braconniers tuent les pachydermes pour récupérer leur viande et leurs défenses.
L’ivoire vaut de l’or aux yeux des braconniers, et les pays importateurs leur promettent de grosses sommes d’argent en échange de ce produit.
Résultat : ils chassent les éléphants et les abattent pour leur ivoire.
Selon les statistiques, de nombreux pays d’Europe, d’Asie et d’Amérique du nord se trouvent dans la liste des principaux importateurs d’ivoire. Citons entre autres le Japon, l’Inde et Hong Kong.
Ces pays utilisent l’ivoire en joaillerie, en art et en décoration. Les produits finis sont ensuite commercialisés sur le marché mondial. Par exemple les bijoux de luxe et les touches de piano.
Au Japon, ce pays utilise l’ivoire pour fabriquer le sceau des documents officiels japonais.
8.2) La destruction de l’habitat naturel :
A part le braconnage, la destruction de l’habitat naturel des éléphants constitue l’une des causes majeures de leur disparition.
Les populations humaines augmentent en nombre et cherchent de nouveaux espaces pour vivre. Ils envahissent alors le territoire des éléphants pour y construire leurs maisons et implanter leurs cultures.
Les hommes pointent les pachydermes du doigt, leur reprochant de pénétrer sur leurs terres pour détruire leurs cultures et leurs habitations. De leur côté, les éléphants voient l’étendue de leur habitat naturel se rétrécir et ils sont poussés à s’introduire au milieu du territoire des hommes.
Cette grande expansion entraine alors le conflit homme – éléphant ayant pour conséquence la chasse abusive des pachydermes.
8.3) Pauvreté du continent africain
Troisième cause de la disparition des éléphants d’Afrique : la pauvreté du continent.
En effet, la population de certains pays est dans le besoin, et le seul moyen pour survivre est de tuer les éléphants. Leur viande sert de nourritures, et l’ivoire permet de gagner beaucoup d’argent.
En parallèle, il y a la corruption. Plusieurs stratégies anti-braconnages sont en effet menées sur nombreux territoires africains. Mais en quelques années, la corruption a ébranlé complètement les efforts fournis par les forces de l’ordre.
9) Une statistique qui alerte !
Laissons les nombres parler d’eux-mêmes. Ils font peur mais il est important de les connaitre. Selon le résultat d'une longue étude menée sur le continent africain, le nombre d’éléphants de savane et de forêt ne cesse de chuter.
- De 1979 à 1989, le nombre est passé de 1,2 million à 600 000 individus.
- De 2007 à 2014, le nombre est passé de 600.000 à 500.000 individus
- Depuis 2019, on ne compte plus que 352.000 individus
Il faut noter que le rythme de ce déclin atteint les 8% chaque année. Si cela continue ainsi, alors les éléphants de savane risquent de disparaître dans les 10 prochaines années. Et malheureusement, leurs cousins des forêts ne sont pas mieux lotis.
10) La protection des éléphants d’Afrique
Pour sauver les éléphants d’Afrique, plusieurs communautés africaines en collaboration avec les autochtones, le WWF, ONU Environnement et autres ONG, ont mis en place des méthodes strictes pour lutter contre le braconnage et la dégradation des habitats naturels des pachydermes.
D’autres initiatives sont également établies, notamment au niveau de la sensibilisation des humains sur l’importance de la préservation des éléphants, et la promotion de l’accès à un financement durable pour les communautés régionales et nationales.
Selon les écologistes et les défenseurs des animaux sauvages, ce continent devrait raffermir et perfectionner la formation des gardes forestiers. Pour cela, il faut leur fournir du matériel plus innovant et des équipements professionnels pour consolider la surveillance des zones protégées. Grâce à ces dispositifs de pointe, les gardes forestiers pourront mener à bien la protection des éléphants et freiner largement leur déclin.
11) Réserves naturelles et aires protégées : le dernier paradis des éléphants d’Afrique
Qui ne rêve pas de voir les éléphants dans leur milieu naturel ? Si un jour vous aurez l’opportunité de partir en safari en Afrique, voici les bonnes adresses à noter dans votre carnet de voyageur.
11.1) Le parc national de Zakouma dans le sud de Tchad :
C’est le seul parc où les éléphants d’Afrique prospèrent. Plus de 500 individus des plus grands du continent trouvent refuge au cœur de cet endroit. Les nourritures sont très abondantes et la réserve en eau est riche, grâce à la rivière Bahr Salamat et ses affluents qui traversent le parc du nord au sud. Les éléphants vivent avec d’autres animaux sauvages, tels que les buffles, les girafes, les fauves, les aigles, les cigognes, les bubales, les pélicans, etc.
11.2) Le parc de Hwange au Zimbabwe :
Ce parc possède aussi l’une des plus grandes densités d’éléphants sur le continent africain. 60 points d’eau artificiels ont été créés pour assurer l’approvisionnement en eau. Les hauts plateaux se composent de savane herbeuse, d’arbres buissonneux et de forêts clairsemées. A la saison des pluies, les éléphants du parc migrent vers le sud ou vers l’ouest, et ils sont moins présents sur le parc de Hwange.
11.3) Le parc de Mana Pools au nord du Zimbabwe :
Ce parc est classé patrimoine mondial de l’UNESCO par sa grande biodiversité et sa nature intacte. Accessible uniquement en avion, le parc est riche en eau avec ses 4 lacs et le fleuve Zambèze bordé de grandes étendues herbeuses. Un safari à pied vous est proposé au cœur de l’endroit en compagnie d’un guide professionnel. Vous pourrez ainsi vous approcher des éléphants à seulement quelques mètres. D’autres prédateurs dominent aussi le territoire, à savoir les lions, les crocodiles, les hippopotames et les lycaons. Plusieurs espèces d’oiseaux aquatiques habitent près des lacs.
11.4) Le parc national de Tsavo au Kenya :
1/3 des éléphants du Kenya sont concentrés à Tsavo. On les appelle les « éléphants rouges » à cause de la poussière latérite ou terre rouge qu’ils enduisent sur leur peau. L’avantage de ce parc est qu’il abrite d’autres espèces endémiques, comme le zèbre de Grévy, le gerenuk, l’autruche de Somalie et l’oryx beïsa.
11.5) Le parc national d’Amboseli au nord du Kilimanjaro au Kenya :
Plusieurs herbivores vivent dans ce parc national d’Amboseli. Sa zone marécageuse permet aux éléphants, aux girafes et aux nombreuses espèces d’oiseaux d’y vivre en toute sérénité. Les pachydermes ont l’habitude de brouter et de boire dans les marais. Ils rejoignent ensuite la forêt pour éviter la forte chaleur du soleil. Le Kilimanjaro décore l’arrière-plan du parc et offre un panorama superbe en fin de journée.
11.6) Damaraland en Namibie :
Ici, les éléphants vivent au cœur d’un milieu désertique hors des réserves. La population est moins dense mais s’habitue aisément à cet environnement aride. Le braconnage est très présent sur ce territoire puisqu’il ne bénéficie d’aucune protection particulière.
11.7) Safari en Zambie et au Zimbabwe
Il est tout à fait possible de combiner un safari au Zimbabwe et en Zambie. En effet, vous aurez de fortes chances de croiser des troupeaux d’éléphants traversant le fleuve à la nage.
Une véritable carte postale !
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Gildas Sotire
Les éléphants d’Afrique sont présents aussi dans le parc national de la Pendjari au Bénin 🇧🇯🇧🇯🇧🇯